Quilt "oublie tracas"
Juin, pour moi, est synonyme sentimentalement de montagnes russes. Car j'y alterne le stress des examens de mes z'ados, la joie de leur réussite ou la détresse de leur échec et en même temps l'allégresse que me procure mon jour anniversaire qui coïncide avec l'arrivée de l'été. Autant vous dire que certaines années c'est dur, très dur... car en plus, évidemment, je déteste les montagnes russes!-)
Bon cette année c'est plutôt bien parti, Fils Cadet a enfin trouvé sa voie : la mécanique et il a réussi son année. Fils Aîné termine ses humanités (l'année du bac en France, sauf qu'en Belgique ça n'existe pas, (ouf!)) et il a la rage au coeur donc je suis sûre à 80% qu'il réussira. Mais évidemment un vilain lutin nommé "pharyngite" s'en est mêlé donc il devra représenter dans une dizaine de jours l'examen de Français qu'il n'a pas su passer vendredi dernier, cloué au lit par maux de têtes et vertiges... Notre brave médecin de famille lui a concocté un cocktail pour le remettre d'attaque et il devrait pouvoir s'en sortir pour passer haut la main les épreuves restantes. A suivre!
C'était donc le moment propice à la création de ce top : "Quand la vie te donne des miettes, fais un quilt"
La semaine dernière je rangeais mes magazines et par hasard (*) j'ai ouvert le "Quilt Country 35" de l'hiver dernier. Voici ma version de ce "quilt pour oublier les tracas", tout en tissus de récup'.
De plus près :
... et maintenant, que faire en attendant les résultats scolaires de Fils Aîné... et les cadeaux d'anniversaire (déjà merci à Christal et Brigitte, je les montrerai une fois la date fatidique dépassée) ? Terminer Olga peut-être... ou profiter du jardin en ne pensant qu'à la beauté de la nature :
Car le jardin peu à peu avance vers l'été et se modifie, pour la plus grande joie de nos yeux. C'est la raison pour laquelle la bannière de ce blog a été légèrement modifiée.
Je vous souhaite une bonne semaine et je vous quitte avec la définition du hasard selon Einstein :
(*) Le hasard, c'est Dieu qui se promène incognito.
Elle me revient souvent en tête lorsque comme par ... hasard (!), il reste juste la quantité de tissu ou de dentelle dont j'ai besoin. Ca m'arrive souvent... et vous?